1990-1991: le tournant
1990 (simples)
1990 (doubles)
1991
1990, le public déjà nombreux au 115.
Tirage au sort pour le petit tournoi 1991
Pascal Grasseels
En 1990, apparaît la ligne qui longe le filet (zone d'invasion interdite en retour de service). Autre nouveauté: le Grand Tournoi des simples a lieu en deux jours. Et, tournant de l'histoire: Pierre Rosart et Alain Vincent, bien installés dans la trentaine, insufflent un nouvel élan, un esprit de compétition plus prononcé. À côté d'eux, d'autres talents pointent le bout du nez ou de la raquette: Luc Canautte, Christian Mercier, Stéphane Van Nuffel, Olivier Santolini. Par conséquent, l'ambiance monte d'un cran... Les jeunes suivent: Jean-François Ficheroulle, David De Faveri, Laurent Grégoire, Steeve Ducarme, Arnaud Lorent. De son côté, notre pote Adam Possamaï s'exile peu à peu vers l'Australie.
Si l'organisateur, même pas gêné, collectionne les places d'honneur, son père est toujours à l'affût, tandis que Philippe et Eric Dache imposent leur grande régularité, trustent les podiums et s'avèrent d'un grand soutien dans la préparation.
En 1991, l'ambiance est à son comble. On attend avec impatience les soirées du samedi et du dimanche pour se rassembler sur la pelouse mythique, non plus pour jouer, mais pour se rapprocher, fraterniser autour de quelques blagues, souvenirs, cubis, bouteilles géantes et autres paquets de frites. La fidélité fait son nid.
